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LES SITES MAJEURS CANTALIENS

Superficie : 5 726km² - population moyenne : 154 931 h.
altitude moyenne : 710m - 27 cantons, 260 communes
Chef-lieu de département : Aurillac - 3 arrondissements : Aurillac, Mauriac, Saint-Flour
Point culminant : Plomb du Cantal (1858m)


Zoom au survol des images

Paulhenc Cros de Ronesque Château d'Alleuze Viaduc du Garabit
Vallée de Cheylade Mandailles Lanobre Pas de la Cère
 

 

LE LIORAN

Le plus grand domaine skiable d'Auvergne

Au cœur du plus vaste massif volcanique d'Europe, et des Monts du Cantal, le Lioran, station moderne, dynamique et conviviale est l'un des équipements phare du tourisme cantalien... C'est au début du XXème siècle que ses pentes enneigées accueillirent les premiers skieurs lors de concours militaires internationaux. Créée en 1960 à l'initiative du Conseil Général du Cantal, cette station de loisirs d'hiver et d'été nommée "Super Lioran" se structura peu à peu sous l'impulsion de celui qui allait devenir le Président de la République française, Georges Pompidou, pour devenir à la fin des années 1970, le premier domaine skiable du Massif Central. En 1944, le Département décida de créer la Société Anonyme d'Économie Mixte "Super Lioran Développement" et confia, sous son contrôle, la gestion du site à un opérateur privé, la société Transmontagne. Doté aujourd'hui de la norme ISO 9002, le Lioran a diversifié ses atouts de station de moyenne montagne et valorise sans cesse son image pour répondre au mieux aux attentes des vacanciers.

A proximité de l'autoroute A 75 et desservie par voie ferroviaire jusqu'au pied des pistes, la station du Lioran propose la pratique de tous les sports de glisse sur un domaine de 1500 hectares. Du téléphérique, qui permet d'atteindre les sommets à 1800 mères d'altitude, les amoureux de poudreuse peuvent dévaler en toute liberté les 60 kilomètres de pistes du Plomb du Cantal et les 45 pistes de ski de descente tracées et balisées du domaine de Massebœuf et Rombière. Les 125 kilomètres de pistes de fond permettent de découvrir les sublimes pays du plateau de Prat de Bouc et le cirque de Font d'Alagnon.

L'esprit nouvelle glisse...

Pour les passionnés de fun, la station dispose d'un big air aux normes ASF, d'un show parc animé, d'un boardercross avec module... D'autres activités s'offrent aux amateurs : patinoire en glace vive (inaugurée par Surya Bonaly), balades en traîneau ou en quad, randonnées en raquettes à neige. Des canons à neige ont été disposés sur plus de 15 hectares pour ne plus dépendre des caprices de la météo et un télésiège débrayable a été récemment installé. L'été, les randonneurs disposent de 170 kilomètres de sentiers, les vététistes de 100 kilomètres de pistes balisées et les cavaliers peuvent parcourir une nature intacte au cœur du Par Naturel des Volcans d'Auvergne. En prenant le téléphérique du plomb du Cantal, on peut admirer, au loin,  les Monts du Sancy ou du Forez, faire de la luge d'été, du toboggan nautique, du parapente, de l'escalade et canyoning...

LE VIADUC DU GARABIT

Viaduc du Garabit à Ruynes en Margeride (Cantal)Comment franchir les Gorges de la Truyère (564 mètres de large sur 125 mètres de haut). Léon Boyer, jeune ingénieur des Ponts et Chaussées, imagina le principe d'un pont métallique à un seul arc parabolique capable de supporter le poids des trains, de résister aux rudes et puissants vents transversaux et aux dilatations du métal. La réalisation fut confiée à l'ingénieur Gustave Eiffel (1832-1923), celui-là même qui construisit, en 1889, la célèbre tour parisienne qui porte son nom. Aujourd'hui, le viaduc, illuminé en nocturne pendant l'été, accuse une hauteur de 95 mètres depuis la création du barrage de Garabit-Grandval.
Le viaduc de Garabit est un ouvrage ferroviaire situé sur la commune de Ruynes en Margeride (Cantal), qui permet à la ligne de Béziers à Neussargues (ou ligne des Causses) de franchir les gorges de la Truyère, affluent du Lot. Majestueux ouvrage de fer, le Viaduc de Garabit réunit les deux rives de la Truyère depuis plus de 120 ans et suscite l'admiration des auvergnats et des vacanciers qui le découvrent en empruntant les routes qui sillonnent la vallée. Conçu par l'ingénieur Léon Boyer, il fut réalisé par l'entreprise Gustave Eiffel entre 1880 et 1884. Ce viaduc ferroviaire a désenclavé le Massif Central permettant ainsi à la ligne SNCF venant de Paris, de se prolonger jusqu'à Béziers...

CHAUDES-AIGUES

La station du rhumatisme

Chaudes-Aigues, la plus méridionale des stations d'Auvergne, est placée sous le signe de la chaleur. Nichée entre les Monts du Cantal, de la Margeride et de l'Aubrac, dans le ravin du Remontalou, Chaudes-Aigues est surtout connue pour ses eaux thermales qui, avec 82° C à l'émergence, sont les plus chaudes d'Europe. Mais c'est loin d'être la seule qualité de cette station cantalienne qui, avec ses toits de lauze, sa place du marché, son lavoir municipal et ses rues pavées, a des petits airs de carte postale. Ici le patrimoine se niche au détour de chaque ruelle et un séjour à Chaudes-Aigues, que ce soit par la visite du Musée de la Géothermie ou des excursions organisées dans les environs, sera forcément riche de découvertes. Grâce à ses sources (une trentaine) chaudes qui en font une station thermale, Chaudes-Aigues est une ville où la distribution gratuite d'eau courante chaude dans les maisons est pratiquée depuis l'antiquité. Elle se flatte d'être la plus méridionale des stations thermales d'Auvergne.
A Chaudes-Aigues, avec 32 sources à 750 mètres d'altitude, les eaux les plus chaudes d'Europe jaillissent entre 50° et 82° (un record). Jadis, on venait à la Source du Par pour cuire des œufs, faire la soupe, plumer les volailles ou parer (nettoyer) les cochons.
Aujourd'hui, les thermes de Chaudes-Aigues sont la Providence des rhumatisants (la station est agréée par la Sécurité Sociale). Outre leurs valeurs curatives reconnues et appréciées, les eaux chaudes naturelles sont utilisées pour les besoins ménagers et le chauffage des habitations. Le Musée de la Géothermie et du Thermalisme rappelle l'histoire du réseau de chauffage urbain le plus ancien du monde (1332).

CITÉS MÉDIÉVALES

Salers

Cité médiévale remarquable par sa valeur architecturale et le décor grandiose dans lequel elle se trouve enchâssée. Salers a su conserver ses hôtels Renaissance, ses logis de lave sombre, ses vieilles tours, le beffroi, ses ruelles obscures, ses lourdes portes crénelées et ses hautes murailles, d'où son aspect moyenâgeux du bailliage des hautes montagnes d'Auvergne.
Salers est une des villes les plus attirantes de la Haute-Auvergne. A 951 mètres d'altitude sur sa planèze, elle garde intact, de son passé militaire et judiciaire, un ensemble rare de remparts et de vieux hôtels, groupés sur un piton, d'où, l'on domine magnifiquement le confluent de l'Aspre et de la Maronne. A la sortie de Salers, sur la route du pays de Peyrol, s'élève la chapelle N-D de la Lorette.
Salers et le Pays de Salers constituent un espace privilégié pour des séjours de repos et de détente ainsi qu'une pratique plus sportive à travers de nombreux circuits de petites et de grandes randonnées dans la proche montagne, les vallées et les plateaux.
 

Murat

Témoin de l’activité volcanique du Cantal, Murat a conservé un patrimoine architectural exceptionnel, qui lui vaut le nom de "Porte de pierres des Monts du cantal". La ville est entourée de trois rochers, qui sont trois anciennes cheminées volcaniques : les rochers de Bredons et de Chastel sur Murat avec leurs chapelles romanes, et le Rocher de Bonnevie surmonté de la vierge Notre-Dame de la Haute Auvergne, elle vous dévoile avec splendeur et fierté ses orgues basaltiques ! Véritable carrefour économique depuis le moyen-âge, la ville recèle de nombreux trésors de différentes époques. C’est une des villes des plus anciennes du département, son nom celte signifierait "roc escarpé" et ses premières traces remontent à 270 après J.-C.
Au XIVème siècle, Murat était une ville fortifié "castrum apud castrum de Murat (*) ". A l'abri de ses murailles c’était un nœud routier important, une cité active (foires et marchés, auberges, artisanat, professions libérales). Le château imposant appartenant successivement aux familles de Murat, de Cardaillac, d’Armagnac, fut détruit en 1633 par ordre de Richelieu. Il surplombait les Orgues basaltiques en lieu et place de la statue de Notre Dame de la Haute-Auvergne (Vierges de Bonnevie), érigée en 1878 (piédestal 6 m., vierge 8 m., poids 1.378 T).

* forteresse appuyé au rocher de Murat.

TOURNEMIRE

Cette petit de moins de 200 habitants est un des villages les plus représentatifs de l'architecture cantalienne. Seigneurie au XIème siècle. Aujourd’hui classé parmi les Plus Beaux Villages de France, le bourg est groupé au pied du château  d’Anjony (XIVème, XVème et XVIIème siècles). Son nom provient d’une illustre famille : les Tournemire. Du château d’origine datant du XIIème siècle, on ne devine à ce jour que l’emplacement. Lors de la traversée du village, vous ne manquerez pas de remarquer les nombreuses maisons dotées de pierres monumentales ; celles-ci proviendraient de cet ancien château. La visite du château actuel datant du XVème siècle apporte de précieuses indications sur la riche et tumultueuse histoire de ce village. Ancienne chapelle seigneuriale, l’église romane Saint-Jean-Baptiste abrite une épine supposée avoir appartenu à la couronne du Christ. L'un des plus beaux types de l'architecture militaire de la Haute-Auvergne du XVème siècle. Anjony, témoin du passé, se veut une demeure vivante, tournée vers l'avenir car toujours habitée par la famille de son bâtisseur...

 

Visite(s) conseillée(s)


Le Tourisme dans le Cantal

11.12.2017

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